
TA∞OST'as ôter l' ÓS
relations humaines
Princes Serviteurs,
Pères Fils,
Homme Femme,
Frère aîné Frère cadet,
Ami Ennemi.
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ÖÐÒ½ðBÉú–X
Il constata, en y entrant, qu’il s’agissait d’un puissant jaillissement qui s’élançait, comme d’une source vive [...], pour retomber dans le poudroiement de milliers d’étincelles [...] ; cette jaillissante colonne avait l’éclat splendide de l’or en fusion ; rien, pas le moindre murmure ne se faisait entendre : cette grandiose féerie baignait dans un silence saint. »
NO<
>VA<
>LIS
Il décrit :
- Bois,
- Feu,
- Métal
- Eau.
Tu te souviens?
Tes souvenirs reviennent au contact de sa chair humide et tiède qui se tord sans cesse, tu sais que ce n’est pas elle, pas ce corps mince et agile qui était entièrement à ta merci, mais une chair solide et robuste, qui se colle étroitement à toi, elle est si avide, si débridée, et tu épuises aussi toutes tes forces.
- Raconte encore ! Parle-moi de cette jeune Chinoise, comment tu as profité d’elle avant de l’abandonner.
- Tu dis qu’elle est une femme accomplie, alors que cette fille n’était qu’une enfant qui voulait devenir une femme, loin d’être aussi dévergondée et avide qu’elle.
- Ça ne te plaît pas ? demande-t-elle.
Tu dis que si, bien sûr, c’est justement ce dont tu as toujours rêvé, cette absence de retenue, ce plaisir d’aller jusqu’au bout.
- Tu voulais aussi la transformer, pour qu’elle devienne comme ça ?
- Oui !
- Qu’elle coule aussi comme une fontaine ?
- Oui, c’est bien ça.
- Tu halètes en remuant.
- Pour toi, les femmes sont toutes pareilles ?
- Mais non.
ΝΈΑ ΑΛΊΚΗ
NEUVE ALICE
温热润滑,肉蠕动不已,记忆正在恢复,你知道这不是她,那玲珑娇小的身体可 以任你摆弄,这肥臀壮实,紧紧挤压你,那么贪婪,那般放纵,你也竭尽全力 ”说下去 !那个中国女孩,你怎麽享用的,又怎麽把她丢弃?” 你说她是一个十足的女人,那 姑娘只是个想成为个小女人,没她这样浪荡,这样贪婪。”你难道不喜欢?” 她问。你 说当然,这恰恰是你梦寐以求,这样放纵,这般尽兴。”也想把她,你那小妞,也变成 这样?”对!”也一汪泉水?”要的就是这样,”你喘息抽动。”女人对你来说都一 样?” 不。
LA Q{ueue}
D'LA
TR~U~IE
TR~O~UE
LA
FLA~QUE
O P~AQ
DE
LAC Q{ueue} DU C
Il décrit :
Avant – arrière, gauche – droite, haut – bas
confondus avec :
Nord – sud, est – ouest, zénith – nadir ? centre
Bouchez les orifices
Fermez les portes[des sens]
Au terme de vos jours
Vous ne serez pas épuisé
Noyez-vous aux affaires
A la fin de vos jours
Vous ne serez pas sauvé
Percevoir ce qui est petit
L’Illumination
S’attacher à ce qui est faible
La Force
User de sa Lumière
Pour revenir à l’Illumination
Ne pas attirer la catastrophe dernière
C’est la pratique [de la Voie] constante
º†º
La première fois que tu as vu un corps de femme, c’était ta mère… (…) tu avais regardé en cachette ces seins qui t’avaient nourri et l’endroit sombre qui t’avait mis au monde. Au début tu retenais ta respiration, puis ton souffle s’était accéléré, avant de t’endormir dans le désir et le trouble qui avait germé en toi.
ΝΈΟΣ στο YS
NEUVE A L'YS
你第一次见到女人裸体正是你的母亲, 。。。你偷看到哺育过你的乳房和黑丛丛生育了你的地方,先是屏息,然後呼息急促,随後在萌动的欲望和迷糊中睡著了。
L'AME
AMÈRE
DE LA MÈRE
ERRE
DANS
LA MER
DES SARCASMES
Four mis{s}
Fo u r ni es
For mise
For me
Parvenu à l’extrême du Vide
Fermement ancré dans la Quiétude
Tandis que [la Myriade des êtres]d’un seul élan [éclôt]
Moi je suis seul à contempler le Retour
Les êtres prospèrent à l’envi
Mais chacun retourne revenant à sa racine
Revenir à sa racine c’est la Quiétude
C’est accomplir son destin
Accomplir son destin c’est avoir le Constant
Connaître le Constant c’est avoir l’Illumination
Ne pas le connaître c’est courir follement au désastre
Connaître le Constant donne accès à l’Infini
L’Infini à l’Universel
L’Universel à la Royauté
La Royauté au Ciel
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L’essence des animaux à fourrure est la Licorne,
L’essence des animaux à plumes est le Phénix,
L’essence des animaux à carapace est la Tortue,
L’essence des animaux à écailles est le Dragon,
L’essence des animaux à peau nue est l’Homme
Ï
« Tu voudrais avoir une femme, une femme qui aille aussi loin que toi, qui se serait aussi délivrée de toutes les attaches, une femme sans enfants qui ne subirait pas le fardeau familial, une femme qui se ficherait de la vanité et des modes, une femme qui serait naturellement dévergondée, qui ne chercherait pas à retirer quoi que ce soit de toi et qui éprouverait avec toi le même plaisir que le poisson dans l’eau, mais où trouver une telle femme ? Une femme aussi solitaire que toi et qui se satisferait autant que toi de cette solitude, qui ferait se rejoindre ta solitude et la sienne dans la satisfaction sexuelle, les caresses et les échanges de regards, la recherche et l’observation mutuelles ; où trouver cette femme ? »
ΝΈΟΣ ΣΤΟ ΧΟΡΔΙΣΤΉ
NEUVE A LISSE
“你想有一个女人,一个和你同样透彻的女人,一个把这世界上的一切系绊都解脱的女人,一个不受家庭之累不生孩子的女人,一个不追求虚荣和时髦的女人,一个自然而然充分淫荡的女人,一个并不想从你身上攫取甚麽的女人,只同你此时此刻行鱼水之欢的女人,但你哪里去找到这样一个女人.一个和你同样孤独并满意这种孤独的女人,将你的孤独同她的孤独融化在性的满足之中,融化在抚爱和彼此的眼光里,在彼此的审视与搜索中,可这女人你又哪里去找寻?”
Unifie ton vouloir; ne l’écoute pas avec les oreilles mais avec le
cœur. Ne l’écoute plus avec le cœur mais avec le souffle vital. L’audition
se limite aux oreilles. Le cœur est limité par le besoin d’intermédiaires.
Mais qu’en est-il du souffle vital? C’est l’état de pure vacuité qui
accueille toute chose. Or la Voie réside dans la vacuité. Cette vacuité, tel
est le jeûne du cœur.
ΣΑΣ
ΝΑ ΘΥΜΗΘΕΊΤΕ
ΛΟΥΡΊ
ΊΧΝΗ
ΛΕΥΚΌΣ
ΚΑΙ
ΜΑΎΡΟΣ
ΜΈΣΑ στο ΝΤΟΥΛΆΠΙ
TON SOUVENIR LAISSE DES TRACES
BLANCHES ET NOIRES DANS L'ARMOIRE
Tu te sens léger comme l’air, tu as l’impression d’avoir perdu ton poids, tu voyages de pays en pays, de ville en ville, de femme en femme, tu ne penses pas à trouver un abri pour la vie, tu te sens voler, tu mâchonnes des mots amusants qui, comme le sperme que tu éjacules, laissent des traces.
ΝΈΟΣ ΑΥΤΌΣ ΑΝΥΨΏΝΕΙ
NU OVALE LISSE
你轻飘飘,飘荡而失去重量,在国与国,城市与城市,女人与女人之间悠游,并不想找个归宿,飘飘然只咀嚼玩味文字,像射出的精液一样留下点生命的痕迹
†
A celui qui n’est pas habité par lui-même, toutes choses apparaissent dans leur réalité. Ses mouvements sont comme ceux de l’eau, sa tranquillité est comme un miroir, sa réponse est comme un écho
échoéchoéchoéchoéchoéchoéchoéchoéchoéchoéchoécho
échoéchoéchoéchoéchoéchoéchoéchoéchoécho
échoéchoéchochoéchoéchoéchoéchoécho
échoéchoéchoéchoéchoéchoécho
échoéchoéchoéchoécho
échoéchoécho
écho
é ho
éc o
cho
éch
é o
é h
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h